SÉANCE DU 19 JANVIER 1889. Présidence de M. Ad. Franck, président.
M. le président ouvre la séance en ces termes ; -
Mesdames, Messieurs,
En ouvrant cette séance en qualité de président, je n'oublie pas que'je dois la fermer à titre'de conférencier. C'est uiie raison pour ràôv d'ètf'e bref dâns la première partie de inâ tâcllë^ Assurément, iftfûâ auriez eu le droit dé demander qu'on m'appliquât là loi qui interdit le cumul des fonctions. J'aurais dû le demander moi-même; mais j'âi mieux aimé céder aux aimables instances dé votre Conseil. J'espère, toutefois, que vous nous pardonnerez à l'un ët à l'autre, car je me bornerai, ôri ce moment, à rendre'iln légitime hommage â la mémoire de ceux de nos collègues que nous avons eu la doulêtïr d'e perdre dans îé cours dé cette année. f En ,r têfce démette liste funèbre se placé le nom vénéré et cher du grand rabbin du Consistoire central de Trance, Lazard Isidôr. Mais que pôutfrais-je dire dé' lai qui p'uisse égaler ce' ij^eû à dit M. le .grand-rabbin Zadoc Kahn. L'oraisbîi funèbre ^ù-H' à* écrite en sbn horinëUi^'Él'a rien des'solennités vidés èï sonores qu'autorise lé gehté. ; Cë^ un vMlablë pôrtrâî^ un^ôrtrâif vïvânt éicMfjMlitr